Ingénieure générale des ponts et chaussées, préfète de la région Poitou-Charentes de 2013 à 2014 puis directrice de cabinet de Ségolène Royal au ministère de l'Écologie de 2014 à 2015, elle est présidente de la Régie autonome des transports parisiens (RATP) de 2015 à 2017.

Née le 18 avril 1961 à Paris, Elisabeth Borne a su se distinguer tant comme haute fonctionnaire que comme femme politique française. Issue d'une famille, dont les parents étaient directeurs d'un laboratoire pharmaceutique, cette diplômée de l'Ecole Polytechnique et de l'Ecole nationale des ponts et chaussée a fini son cursus avec un diplôme MBA du Collège des ingénieurs. Tout commence en 1987, alors qu'elle rejoint le Ministère de l'équipement pour ensuite intégrer la direction régionale de l'équipement en Ile-de-France deux ans plus tard. Dans les années 1990, elle tient différents postes de conseillère, d'abord pour le Ministère de l'éducation nationale, puis pour les transports en tant que conseillère technique. Au début des années 2000, on lui confie, pour la SNCF, le poste de directrice de la stratégie et, cinq ans plus tard, le poste de directrice des concessions pour Eiffage. Directrice générale de l'urbanisme pour la mairie de Paris, puis préfète de la région Poitou-Charentes, elle passe un an au Ministère de l'écologie, en tant que directrice du cabinet de Ségolène Royal. Elle occupe, de 2015 à 2017, le poste de Présidente de la RATP et annonce en 2016 le recrutement de 3 000 personnes. Chevalier de l'ordre national du Mérite et de la Légion d'honneur, Elisabeth Borne est nommée le 17 mai 2017, sous la présidence d'Emmanuel Macron, Ministre chargé des transports, auprès de Nicolas Hulot, Ministre de la transition écologique et solidaire. Le 16 juillet 2019, elle est nommée ministre de la transition écologique et solidaire, suite au départ de François de Rugy. Le 6 juillet 2020, est nommée ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion dans le gouvernement de Jean Castex. Le 16 mai 2022, elle est nommée Première ministre, devenant ainsi la deuxième femme à occuper ce poste dans un gouvernement français après Édith Cresson (1991-1992).

Jean-Pierre Pernaut est né le 8 avril 1950 à Amiens (08). Il grandit, avec son frère, auprès d’un père directeur d’usine et d’une mère pharmacienne, dans la région d’Amiens. Sportif, il fait partie du club de hockey sur gazon d’Amiens. Avec son équipe ils sont sacrés trois fois champion de France.
C’est à l’école primaire, qu’il se prend de passion pour le journalisme, grâce à son instituteur avec qui les élèves publient un journal. Bien qu’ayant raté deux fois son bac, Jean-Pierre Pernaut est accepté à l’Ecole supérieure de journalisme de Lille. Parallèlement à ses études, il travaille à l’ORTF d’Amiens. En 1975, il obtient son diplôme et est recruté par TF1.
Les origines géographiques des seize quartiers de Jean-Pierre Pernaut sont localisées pour 75% d’entre elles dans le département de la Somme, pour le reliquat dans le département du Pas-de-Calais.
Le département de la Somme a été le théâtre de plusieurs conflits. De nombreux villages ont grandement souffert. De nombreuses archives ont disparu à tout jamais, et les registres d’état civil n’ont pu échapper à ce désastre.
Dans l’ascendance de Jean Pierre Pernaut, certaines dates, certains personnages nous sont apparus par le biais des tables décennales ou bien encore au travers des recensements de population. Les recensements de 1817, 1836 et 1851 nous ont ainsi donné la constitution des familles. Alors qu’il aurait été possible de compléter la recherche au travers des registres de l’enregistrement, de trop nombreux registres sont malheureusement en mauvais état et, de ce fait, ont été retirés de la consultation.

Jean-Paul Belmondo trône en bonne place au rayon « monuments nationaux». En cinquante ans de carrière, celui qu'on surnomme Bébel a tout connu : le cinéma d'auteur et commercial, où sa gouaille a fait merveille. Le fils du sculpteur Paul Belmondo baigne dans une ambiance artistique dès son plus jeune âge. Grand sportif, il se forme au conservatoire de Paris où il rencontre ses grands amis Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Bruno Cremer et Pierre Vernier. 

Jean-Paul Belmondo est né le 9 avril 1933 à Neuilly-sur-Seine. Fils du sculpteur Paul Belmondo, et de Madeleine Raynaud-Richard, artiste-peintre, il a un frère aîné, Alain (1931), et une petite soeur, Muriel (1945). Il passe son adolescence dans le 14ème arrondissement de Paris. Peu intéressé par les études, il va rapidement se passionner pour les disciplines sportives et notamment la boxe qu’il pratique en amateur et brièvement en professionnel. A 15 ans, il décide d’arrêter ses études et prend ses premiers cours de théâtre, rue Vavin. Le déclic opère, le jeune homme souhaite devenir comédien. 

Mylène Demongeot privilégie désormais les seconds rôles voire les brèves apparitions dans des films très différents, de la comédie légère (Tricheuse, Camping 2) au drame (Les toits de Paris, Oscar et la dame rose), en passant par le cinéma d'auteur (Si tu meurs, je te tue, Elle s'en va) ou la télévision (Les mauvaises têtes, Des roses en hiver). Fidèle à Fabien Onteniente, elle repart en camping pour la troisième fois en 2016 et retrouve Franck Dubosc, Claude Brasseur et Antoine Duléry.

Marie-Hélène Demongeot est née le 29 septembre 1935 à Nice. Sa mère a quitté l’Ukraine dans les années 30, pour fuir la pauvreté. Son père, Alfred Demongeot, est un haut fonctionnaire issu d’une famille aristocratique. La fillette grandit dans le sud de la France, notamment à Nice où résidait sa grand-mère paternelle, la comtesse Clavesana. Elle se passionne pour le piano qu’elle va pratiquer assidûment jusqu’à l’âge de 16 ans. Elle fréquente également les salles de cinéma plusieurs fois par semaine. A l’adolescence, elle suit sa famille qui s’installe à Paris. La jeune fille découvre le théâtre et commence à suivre les cours de René Simon puis de Marie Ventura, avant d'entamer une carrière de mannequin. Elle pose pour des photos publicitaires et rencontre au milieu des années 50 le photographe Henry Coste qu’elle épousera.

L’ancien président de la République est décédé ce jeudi 26 septembre, à l’âge de 86 ans. Sa vie et sa carrière politique auront été extrêmement riches.

La famille Chirac est restée corrézienne jusqu’au père du président. Le premier ancêtre connu, Louis Chirac, est né au début du XVIIIe siècle à Gros-Chastang. Il est laboureur. Son fils Pierre l’est également, mais son petit-fils, Louis, devient maçon. Il est le père de François, menuisier puis aubergiste. À la génération suivante, Louis, le grand-père du président est instituteur et termine sa carrière à Brive-la-Gaillarde où il dirige une école.
 François Chirac, le père du président, entre dans une banque, la BNCI, dont il gravit tous les échelons puis devient un des dirigeants du groupe Potez qui construit des avions, marquant ainsi la brillante et rapide ascension sociale de la famille.
 Jacques Chirac, diplômé de l’École nationale d’administration, se lance très jeune en politique et occupe de nombreux postes ministériels avant d’être élu maire de Paris puis président de la République en 1995.