Jean-Pierre Pernaut est né le 8 avril 1950 à Amiens (08). Il grandit, avec son frère, auprès d’un père directeur d’usine et d’une mère pharmacienne, dans la région d’Amiens. Sportif, il fait partie du club de hockey sur gazon d’Amiens. Avec son équipe ils sont sacrés trois fois champion de France.
C’est à l’école primaire, qu’il se prend de passion pour le journalisme, grâce à son instituteur avec qui les élèves publient un journal. Bien qu’ayant raté deux fois son bac, Jean-Pierre Pernaut est accepté à l’Ecole supérieure de journalisme de Lille. Parallèlement à ses études, il travaille à l’ORTF d’Amiens. En 1975, il obtient son diplôme et est recruté par TF1.
Les origines géographiques des seize quartiers de Jean-Pierre Pernaut sont localisées pour 75% d’entre elles dans le département de la Somme, pour le reliquat dans le département du Pas-de-Calais.
Le département de la Somme a été le théâtre de plusieurs conflits. De nombreux villages ont grandement souffert. De nombreuses archives ont disparu à tout jamais, et les registres d’état civil n’ont pu échapper à ce désastre.
Dans l’ascendance de Jean Pierre Pernaut, certaines dates, certains personnages nous sont apparus par le biais des tables décennales ou bien encore au travers des recensements de population. Les recensements de 1817, 1836 et 1851 nous ont ainsi donné la constitution des familles. Alors qu’il aurait été possible de compléter la recherche au travers des registres de l’enregistrement, de trop nombreux registres sont malheureusement en mauvais état et, de ce fait, ont été retirés de la consultation.

Jean-Paul Belmondo trône en bonne place au rayon « monuments nationaux». En cinquante ans de carrière, celui qu'on surnomme Bébel a tout connu : le cinéma d'auteur et commercial, où sa gouaille a fait merveille. Le fils du sculpteur Paul Belmondo baigne dans une ambiance artistique dès son plus jeune âge. Grand sportif, il se forme au conservatoire de Paris où il rencontre ses grands amis Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Bruno Cremer et Pierre Vernier. 

Jean-Paul Belmondo est né le 9 avril 1933 à Neuilly-sur-Seine. Fils du sculpteur Paul Belmondo, et de Madeleine Raynaud-Richard, artiste-peintre, il a un frère aîné, Alain (1931), et une petite soeur, Muriel (1945). Il passe son adolescence dans le 14ème arrondissement de Paris. Peu intéressé par les études, il va rapidement se passionner pour les disciplines sportives et notamment la boxe qu’il pratique en amateur et brièvement en professionnel. A 15 ans, il décide d’arrêter ses études et prend ses premiers cours de théâtre, rue Vavin. Le déclic opère, le jeune homme souhaite devenir comédien. 

Mylène Demongeot privilégie désormais les seconds rôles voire les brèves apparitions dans des films très différents, de la comédie légère (Tricheuse, Camping 2) au drame (Les toits de Paris, Oscar et la dame rose), en passant par le cinéma d'auteur (Si tu meurs, je te tue, Elle s'en va) ou la télévision (Les mauvaises têtes, Des roses en hiver). Fidèle à Fabien Onteniente, elle repart en camping pour la troisième fois en 2016 et retrouve Franck Dubosc, Claude Brasseur et Antoine Duléry.

Marie-Hélène Demongeot est née le 29 septembre 1935 à Nice. Sa mère a quitté l’Ukraine dans les années 30, pour fuir la pauvreté. Son père, Alfred Demongeot, est un haut fonctionnaire issu d’une famille aristocratique. La fillette grandit dans le sud de la France, notamment à Nice où résidait sa grand-mère paternelle, la comtesse Clavesana. Elle se passionne pour le piano qu’elle va pratiquer assidûment jusqu’à l’âge de 16 ans. Elle fréquente également les salles de cinéma plusieurs fois par semaine. A l’adolescence, elle suit sa famille qui s’installe à Paris. La jeune fille découvre le théâtre et commence à suivre les cours de René Simon puis de Marie Ventura, avant d'entamer une carrière de mannequin. Elle pose pour des photos publicitaires et rencontre au milieu des années 50 le photographe Henry Coste qu’elle épousera.

L’ancien président de la République est décédé ce jeudi 26 septembre, à l’âge de 86 ans. Sa vie et sa carrière politique auront été extrêmement riches.

La famille Chirac est restée corrézienne jusqu’au père du président. Le premier ancêtre connu, Louis Chirac, est né au début du XVIIIe siècle à Gros-Chastang. Il est laboureur. Son fils Pierre l’est également, mais son petit-fils, Louis, devient maçon. Il est le père de François, menuisier puis aubergiste. À la génération suivante, Louis, le grand-père du président est instituteur et termine sa carrière à Brive-la-Gaillarde où il dirige une école.
 François Chirac, le père du président, entre dans une banque, la BNCI, dont il gravit tous les échelons puis devient un des dirigeants du groupe Potez qui construit des avions, marquant ainsi la brillante et rapide ascension sociale de la famille.
 Jacques Chirac, diplômé de l’École nationale d’administration, se lance très jeune en politique et occupe de nombreux postes ministériels avant d’être élu maire de Paris puis président de la République en 1995.

Née « à 150 mètres du château de Versailles », Agnès Troublé descend d’une famille de militaires et de juristes : son père était bâtonnier du barreau de Versailles et son grand-père général. Elle n'a pas de lien étroit avec sa mère, celle-ci exigeant qu'elle la vouvoie dès l'âge de quatre ans.

Lesches fait partie de la Communauté d'agglomération "de Marne et Gondoire". Les habitants et habitantes de la commune de Lesches sont appelés les Leschois et les Leschoises. Les villes voisines sont Jablines, Chalifert, Coupvray, Précy-sur-Marne, Chessy.
La grande ville la plus proche de Lesches est Lagny-sur-Marne
 
 
Généalogie
 
I - Laurent Troublé,  vit à Lesches, il est né en 1610, décédé à Lesches (77) le 8 janvier 1642. Il  épouse avant 1634 Catherine Nourry, qui lui donne :
1) - Simon qui suit
2) - Antoine, né à Lesches (77) le 21  septembre 1637, porté sur les fonts baptismaux par  Antoine Dallomylle et par Françoise Didou.
II - Simon Troublé, né à Lesches (77) le 27 juillet 1634. Marié à Lesches (77) le 3 juillet 1656 à Françoise Moreau, puis en 2ème noces à Coupvray le 21 avril 1681 à Louise  Chevalier, morte  à Lesches (77) le 7  avril 1683, Simon se remarie à Lesches le 12 février 1685 à Éléonore Lefevre.
Enfants du premier mariage :